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Inflation ou Déflation

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Écrit par Jean-Jacques Perquel
Catégorie parente: Conjonctures
Catégorie : Notes de conjoncture
Publication : 13 septembre 2013
Affichages : 1994

Deux des principaux états mondiaux les Etats-Unis et l’Allemagne vivent obsédés par deux phénomènes économiques passés à l’état de « légende » : la crise des années 30 pour l’Amérique, l’inflation de 1924 pour l’Allemagne, et cela même si elles se sont produites dans des conditions sans commune mesure avec la situation actuelle. En effet, si dans l’entre-deux guerres le monde était assez ouvert, des efforts nombreux avaient lieu pour développer le protectionnisme dans les pays riches (loi Taft-Hartley par exemple). Cela est d’autant plus incompréhensible que les pays développés avaient, à l’époque, une supériorité technique importante sur le reste du monde.

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Le « bitcoin » ne doit pas être la monnaie de demain

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Écrit par Nadia Antonin
Catégorie parente: Chronique
Catégorie : Nadia Antonin
Publication : 13 septembre 2013
Affichages : 2661

1. Remarques liminaires

Dès la première moitié des années quatre-vingt-dix, les banques centrales se sont penchées sur les implications du développement des monnaies électroniques privées pour la politique monétaire, le bon fonctionnement des systèmes de paiement, la protection des consommateurs et commerçants, la protection contre la criminalité. Ainsi, dans une étude menée par la Direction des Études économiques et de la Recherche et publiée dans le Bulletin de la Banque de France de juillet 2001 on peut lire : « Les porte-monnaie électroniques, dont les promoteurs ciblent en général les transactions courantes de petit montant  entre ménages et commerçants de détail, représentent une menace potentielle pour la demande de billets émis par la banque centrale ». (…). Les auteurs de l’étude évoquent également les risques liés au libre développement de systèmes de paiements concurrentiels. Ainsi, « l’utilisation généralisée de monnaies électroniques privées, émises librement par des institutions non bancaires constitue une menace d’une  déconnexion à la marge entre le taux d’intérêt à court terme piloté par la banque centrale et les taux d’intérêt pertinents pour l’économie ». « Dans une approche de type institutionnel, la question que la monnaie électronique pose au régulateur est celle de l’équilibre à préserver entre la nature de bien public de la monnaie et sa nature de bien privé, créé dans une perspective de profit ».

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Faut-il s’extasier devant les taux de croissance des pays dits « émergents » ?

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Écrit par Nadia Antonin
Catégorie parente: Chronique
Catégorie : Nadia Antonin
Publication : 25 juillet 2013
Affichages : 3373

1. Introduction

Nombreux sont ceux qui s’extasient devant les taux de croissance, parfois à deux chiffres, des pays dits « émergents ». Mais, comme le font remarquer certains économistes, l’économie de ces pays reste fragile et de nombreux obstacles ou difficultés demeurent. Pour François-Xavier Bellocq, « L’émergence, c’est la capacité d’un pays à transformer sa croissance en développement économique et social durable ». La comparaison entre le classement  économique mondial de pays comme la Chine, le Brésil et la Turquie et l’indice de développement humain (IDH) de ces derniers illustre cette affirmation. Ainsi, la Chine (2ème économie mondiale) a enregistré des taux de croissance allant de 8 % à 10,2 % entre les années 2000 et 2011 alors qu’elle se place au 101e rang pour l’IDH. Sur la période 2002-2011, la croissance a atteint en moyenne 3,8 % par an au Brésil, qui occupe la 6ème place dans le classement économique mondial mais qui est seulement au 85ème rang pour l’IDH. La Turquie, qui a connu un taux de croissance de 6,2 % entre les années 2000 et 2008 (chute de ce taux en 2009), se place au 90ème rang mondial pour l’IDH.

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Prix du financier 2012

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Écrit par ANDESE
Catégorie parente: Prix du financier
Catégorie : Prix du financier 2012
Publication : 20 juin 2013
Affichages : 3406

Denis Kessler, Président-Directeur général de SCOR, a été élu « Financier de l'année » 2012 dans le cadre du prix organisé par l'ANDESE, Association Nationale des Docteurs ès Sciences Economiques et en Sciences de Gestion, et l'hebdomadaire Investir-Journal des finances.

Ce prix créé en 1984 distingue la personnalité ayant le plus contribué, au cours de l'année écoulée, au développement de l'activité financière en France. Les nominés sont soumis au vote du jury composé de plus de 300 membres de la communauté financière française. Denis Kessler a reçu le prix du « Financier de l'année » des mains de Jean-Claude Trichet, ancien Gouverneur de la Banque de France et ancien Président de la Banque centrale européenne.

Denis Kessler succède à Augustin de Romanet (2011), David de Rothschild (2010) et René Ricol (2009).

Jean-Claude Trichet déclare : « L'action de Denis Kessler à la tête de SCOR ces dernières années, qui a permis de créer le 5ème réassureur mondial à partir d'un groupe qui connaissait à son arrivée de graves difficultés, est une success story exceptionnelle que le Prix du financier de l'année souligne et consacre avec éclat. La manière dont SCOR a traversé la crise financière, en voyant sa note relevée à deux reprises alors que la plupart des institutions financières suivaient le chemin inverse, est également remarquable. A titre personnel, je tiens également à saluer la constance et la force de son engagement en faveur de la monnaie unique depuis l'origine ».

Denis Kessler, Président-Directeur général de SCOR, déclare : « Je tiens à remercier l'ANDESE, Investir-Journal des finances ainsi que l'ensemble des membres de la communauté financière ayant pris part au vote pour l'attribution de ce prix, et je suis particulièrement sensible au fait qu'il m'ait été remis par Jean-Claude Trichet. J'y vois la reconnaissance des performances de SCOR au cours des dernières années. C'est un encouragement pour l'ensemble des collaborateurs de SCOR à poursuivre cette dynamique positive, dans un contexte où l'acquisition récente des activités de réassurance Vie de Generali aux Etats-Unis marque une nouvelle étape de notre développement ».

Communiqué de presse SCOR

  1. Retour aux fondamentaux : Les vertus des entrepreneurs redécouvertes
  2. LA CRISE ECONOMIQUE : JUSQU'A QUAND ?
  3. « Big Data » : le « nouveau pétrole » de l’économie
  4. « L’IT consumerization » : un défi majeur pour les entreprises
  5. Un marché pour les Junior Entreprises
  6. Des politiques industrielles au développement productif : la mutation incontournable
  7. L’entreprise en récession
  8. Y A-T-IL ENCORE UN MARCHE FINANCIER ?
  9. L’Homo Oeconomicus dans l’idéologie du monde
  10. Les problèmes monétaires actuels

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