Le catalogue électronique
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- Écrit par Nadia Antonin
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1. Introduction
La mise en place d’un catalogue électronique est primordiale pour celui qui veut se lancer dans le commerce électronique.
Selon la définition de l’OCDE, le commerce électronique (e-commerce en anglais) est la « vente ou l’achat de biens ou de services, effectués par une entreprise, un particulier, une administration ou tout autre entité publique ou privée, et réalisé au moyen d’un réseau électronique ». Il s’effectue notamment au moyen de courrier électronique, de la toile, des catalogues électroniques, des transferts électroniques de fonds, etc. Il est d’usage de distinguer cinq grands domaines en matière de commerce électronique :
- L’échange électronique entre entreprises appelé « Business to Business » ou entreprise à entreprise en ligne ;
- Le commerce électronique à destination des particuliers appelé « Business to Consumer » ou entreprise à consommateur en ligne ;
- L’échange électronique entre une entreprise et une administration appelé « Business to Administration » ou entreprise à administration en ligne ;
- L’échange électronique entre une administration et une personne privée appelé « Administration to Consumer » ou administration à consommateur en ligne ;
- L’échange électronique entre particuliers appelé « Consumer to Consumer » ou échange entre consommateurs.
Après avoir rappelé en quoi consiste le commerce électronique, penchons-nous sur le concept de « catalogue électronique ».
L’avenir du financement des investissements dans le contexte de Bâle III, Solvency II et la déstructuration des Bourses
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- Écrit par Jean-Jacques Perquel
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L’économie française, comme celle de la plupart des pays occidentaux est caractérisée depuis la crise de 2007-2008 par un important renouveau économique. La création d’entreprises (580.000 en 2009), souvent de très petites entités (T.P.E.), a pour contrepartie un nombre élevé de faillites (un peu plus de 50.000 par an). Depuis le dernier trimestre 2010, la situation économique s’améliore, le chômage commence à diminuer.
Les Autorités Financières restent traumatisées par l’ampleur d’une Crise qu’elles ont été incapables de prévoir. Elles la traitent selon des recettes issues de théories économiques parfois critiquables. Ainsi, les Américains semblent réussir à relancer leur économie grâce à une politique néo-keynésienne d’émission monétaire. Par contre, l’Europe a subi l’influence d’Hayek et a pratiqué une politique plus conservatrice. Cela a provoqué la crise actuelle de l’Euro, puisqu’un certain nombre de pays se sont trouvés en manque de liquidités.
Dans tous les cas les Politiques sont d’accord pour renforcer considérablement les réglementations.
Pour en comprendre les effets sur l’économie française, il nous faut analyser la situation, envisager les conséquences de ces mesures, l’évolution de la Bourse et voir comment on pourrait compenser sur le plan interne les dégâts de la politique financière internationale.
Chorus et la gestion financière de l’État
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1. Introduction
La dématérialisation touche de nombreux secteurs et revêt différents aspects : services, transactions, factures, administration, capital intellectuel, etc.
Le secteur public s’investit depuis plusieurs années dans de grands projets nationaux de dématérialisation comme par exemple le projet Chorus. Ce projet concerne la gestion des ressources financières de l’État et constitue un des témoignages de la volonté de ce dernier d’améliorer sa performance.
Les mots et le monde de la finance
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Lors de la cérémonie de remise des Trophées du langage de Bercy qui s’est tenue le 16 mars 2011 au Ministère de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, Monsieur Xavier North, Délégué général à la langue française et aux langues de France a cité Albert Camus : « Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde ».
Dans le contexte de la mondialisation, et grâce aux nouvelles technologies, le monde de la banque et de la finance est en constante évolution. Cette transformation s’est accompagnée d’un cortège de nouveaux concepts anglo-saxons qu’il a fallu maîtriser. Les travaux méthodologiques sur la finance, l’économie et la monnaie, les textes réglementaires, les brochures commerciales, les supports de cours, la formalisation des systèmes d’information et des systèmes d’échange font appel à un vocabulaire de plus en plus technique. Il devenait donc nécessaire d’élaborer, au sein de la profession, des définitions claires et concises à la portée des professionnels et des étudiants.
Un groupe d’experts a été constitué sous l’égide du Comité français d’organisation et de normalisation bancaires (CFONB) qui a reçu pour mission d’élaborer une Terminologie bancaire et financière multilingue.