1. Introduction
Le concept écologie, (du grec « oikos » la maison et « logos » la science), est apparu en 1866 sous la plume du biologiste et promoteur de la théorie de Darwin en Allemagne Ernst Haeckel, pour désigner « la science qui étudie les rapports entre les organismes et les milieux où ils vivent ».
Dans son ouvrage intitulé « Les relations incestueuses de l’écologie scientifique », Christian Lévêque, chercheur en hydrobiologie, rappelle que « pour le citoyen, l’écologie se résume souvent à la défense de la nature ou à un style de vie. L’écologie, ce sont les Verts, les anti-nucléaires, les anti-OGM, les anti-pesticides, etc., en d’autres termes, tous les empêcheurs de consommer en rond. Le citoyen qui connaît mal l’écologie scientifique croit, de bonne foi, que les discours militants sont cautionnés par la science écologique, ce qui suscite pour le moins une certaine confusion. De fait, l’écologie scientifique se trouve actuellement prise en otage par deux grands courants militants :
- Les mouvements de conservation de la nature (ONG, associations, etc.) […] qui défendent des points de vue militants et orientés, parfois teintés d’idéologies;
- L’écologie politique qui revendique, pour les hommes, une vie plus compatible avec les cycles naturels, en réaction à une société industrielle considérée comme stressante et prédatrice.
L’écologie scientifique se trouve ainsi exposée à divers mouvements idéologiques, philosophiques ou politiques, porteurs de certaines représentations de la nature et des rapports de l’homme à la nature, et elle a souvent du mal à s’en démarquer.
Pour l’association Sciences Citoyennes, les positions de Christian Lévêque « consistent à dénoncer une collusion entre science et idéologie, et à se présenter en défenseur de la seule vraie science qui ne serait pas tombée aux mains de militants écologistes ».
Sans ouvrir le débat sur la question de savoir si « l’écologie est encore scientifique » (voir Christian Lévêque), nous proposons de démontrer dans cet article, que les positions prises par certains écologistes s’apparentent davantage à une idéologie. Pour mener notre analyse, nous avons retenu quelques thèmes évocateurs dont notamment celui du « tout numérique » et de son impact négatif sur l’écologie.
2. Numérique et transition écologique
2.1 Qu’en est-il de la contradiction entre la frénésie numérique et la promotion de la transition écologique ?
Quand allons-nous prendre conscience que le vif engouement pour le numérique » a un coût écologique faramineux ? Le numérique, ses équipements et ses infrastructures (data centers, smartphones, ordinateurs, objets connectés, etc.) pèsent en tonnes cinq fois plus que le parc automobile en France. A l’heure actuelle, l’industrie numérique est l’une de celles qui croit le plus vite et avec elles, les émissions à effet de serre et de polluants divers explosent. D’aucuns parlent de « pollution numérique ».
Allons-nous pouvoir concilier la place croissante du numérique dans nos vies avec la transition écologique ? Pour la professeure Solange Ghernaouti « La fuite en avant technologique est paradoxale car l’humain ne maîtrise pas la complexité des environnements technologiques, ne les comprend pas, mais est enclin à leur accorder sa confiance et à se soumettre à eux ». De même, pour le président de l’association Alter Kapitae », Gabriel Malek, « la numérisation de tous les instants s’oppose radicalement à l’écologie ». Pour lui, « faire les louanges de la transition numérique et de la transition écologique qui iraient de pair, est un doux rêve abreuvé d’hypocrisie ». Enfin, lors d’une interview d’août 2022, Guillaume Pitron, auteur du livre « L’enfer du numérique. Voyage au bout d’un like », souligne la contradiction consistant à « vanter l’écologie et à utiliser de façon effrénée le numérique sans se soucier des conséquences négatives sur le climat ». A la question « Sauvera-t-on la planète en ayant un recours massif aux technologiques numériques », il répond par la négative en invoquant la pollution toujours plus importante d’internet et du numérique en général.
Pour étayer la contradiction entre une augmentation effrénée des nouvelles technologies et une posture écologique, prenons l’exemple des crypto-actifs. Ces derniers sont non seulement voraces en énergie, « des monstres de consommation d’électricité », mais également générateurs de très importantes émissions de gaz à effet de serre. Ils sont particulièrement nocifs pour notre environnement eu égard à l’empreinte écologique du procédé qui permet d’en fabriquer. Plusieurs études confirment l’augmentation de l’impact environnemental du minage des crypto-actifs comme celle publiée par une équipe de chercheurs de l’Université d’Hawaï dans la revue Nature Climate Change. Cette étude évoque un vrai désastre environnemental. D’après ces chercheurs, « si le Bitcoin était massivement adopté par la population, il pourrait provoquer une hausse de 2°C de la température mondiale en seulement 16 ans ».
Le caractère extrêmement énergivore de ces derniers et leur impact désastreux sur l’environnement ne semble pas préoccuper les promoteurs de la transition écologique.
2.2 Le ticket de caisse numérique : une « fausse bonne idée pour l’écologie »
La réforme consistant à supprimer l’impression systématique des tickets de caisse est entrée en vigueur le 1er août 2023 dans le cadre de la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire (loi AGEC).
Une étude réalisée par la jeune pousse KillBills spécialisée dans la dématérialisation des tickets de caisse souligne les hésitations des consommateurs entre le support papier et le support électronique. En effet, d’’après cette étude, 43% des Français préfèrent le format papier concernant les tickets de caisse.
Comme nous l’avons souligné dans un article intitulé « Le mal-fondé de la suppression des tickets de caisse et de carte bancaire » (Nadia Antonin, août 2022), la non-impression systématique des tickets de caisse et son remplacement par un ticket numérique (voir glossaire) nous laissent perplexes quant à son impact écologique et au respect de la vie privée.
A la question « le ticket numérique est-il réellement plus écologique que le ticket papier », dans un article intitulé « Fini le ticket de caisse ? Sept questions que pose la disparition de l’impression automatique », Nicolas Six, journaliste au Monde révèle que le ministère de l’écologie n’a pas été en mesure de transmettre au Monde une étude d’impact qui répondrait à ces interrogations.
Dans un projet interdisciplinaire en environnement mené au sein de l’Université de Strasbourg et intitulé « Réflexions sur les conséquences environnementales et idées de perspectives pour le ticket de caisse, les auteurs écrivent que « l’e-ticket envoyé par mail semble être la fausse « bonne idée » pour échapper au ticket de caisse traditionnel. Cela ne fait que déplacer le problème et la source de pollution ». Pour ces auteurs, la pollution numérique « bien qu’encore méconnue du grand public, est un « phénomène bien réel et aussi dévastateur que la pollution aérienne civile. […] « Si internet était un pays, ce serait la sixième nation la plus polluante du monde ». Effectivement, nous ne pouvons ignorer que l’envoi d’un courriel avec en pièce jointe le ticket de caisse électronique a un effet sur l’environnement (voir rapport de l’ANDEME de janvier 2021 relatif à l’impact du numérique sur l’environnement). Nous sommes face à un « transfert d’impact », « c’est-à-dire que les impacts environnementaux associés au papier, on va les remplacer par des impacts environnementaux associés à l’ensemble des équipements numériques pour pouvoir afficher sur un écran le ticket de caisse », explique Frédéric Bordage, fondateur du collectif GreenIT. Selon ce collectif, « un ticket dématérialisé rejetterait dans l’atmosphère 2 grammes d’équivalent CO2 de plus qu’un ticket imprimé, car sa transmission et son stockage dans un centre de données sont coûteux en énergie ». Dans une interview accordée à Vert (média indépendant centré sur l’écologie), Frédéric Bordage déclare : « Au final, c’est du pur greenwashing, ça arrange l’industrie numérique qui insiste sur les bienfaits de la dématérialisation ».
3. Quid de l’idéalisme écologique ?
« Au moins en France, le mot « écologie » est plus facilement associé à des mouvements politiques qu’à une science ».
Sébastien Barot
Directeur de recherche à l’Institut d’Écologie et des Sciences de l’Environnement
Comme l’exprime Claude Sicard, ingénieur agronome, Sciences Po et Docteur en économie, dans son article intitulé « Le péril vert : gardons-nous bien des écologistes », « incontestablement, l’écologie a aujourd’hui remporté la bataille des idées. Certains parlent d’une véritable religion. […] « Les écologistes nous rappellent que nous n’avons qu’une seule Terre et construisent des récits apocalyptiques, leur dogme étant que la science et la technologie, livrées à elles-mêmes, mènent le monde à sa perte. Ils s’opposent farouchement à la liberté de l’Homme d’exploiter la nature, et par leur poids électoral, ils sont parvenus à imposer leur idéologie au monde politique. Nous sommes dans le registre des émotions, au détriment de la raison ». Claude Sicard conclut son article en faisant référence à une interview de décembre 2021 du Ministre italien de la Transition écologique qui déclarait : « Le monde est plein d’écologistes, bobos et extrémistes : ils sont pires que la catastrophe climatique ».
Régulièrement, certains se mobilisent pour « sauver la planète » par des manifestations, des grèves pour le climat, des occupations de lieux publics, des émeutes, etc. mais ils ne changent pas leurs habitudes de consommation liées au numérique. D’aucuns parlent d’une certaine « hypocrisie ».
Guillaume Pitron, cité précédemment, écrit : Pour la première fois dans l’histoire, une génération se lève pour « sauver » la planète, traîner les Etats en justice pour inaction climatique et replanter des arbres. Des parents rêvent d’avoir « trois Greta Thunberg à la maison », vent debout contre la consommation de viande, le plastique et les voyages en avion. Simultanément, cette cohorte recourt davantage que d’autres au commerce en ligne, à la réalité virtuelle et au gaming. Elle raffole de la vidéo en ligne et ne connaît pas d’autre monde que celui des hautes technologies ».
L’addiction à l’écran fait perdre de vue l’impact très négatif sur le plan environnemental. Pour 87 % de la population française, le smartphone est devenu un accessoire indispensable, un objet du quotidien. Il est le « meilleur ami obligé de l’homme ». La nomophobie est le nouveau mal du siècle.
Dans son article « Quand certains écologistes rêvent en secret d’instaurer une « climatocratie », Jean-Paul Oury, docteur en histoire des sciences et technologies, affirme : « Cela fait maintenant des années que les Français se font berner par des idéologues qui, sous couvert de protection de l’environnement, leur imposent des lubies politiques (de gauche ?). C’est ainsi qu’on nous vend l’écologisme – une idéologie politique – en lieu et place de l’écologie scientifique ». […). Il ajoute : « Pour l’instant, c’est l’écologisme qui a le monopole du discours et que son fonds de commerce repose sur la diabolisation du technosolutionnisme et l’instrumentalisation de la science pour imposer des régimes autoritaires de type Climatocratie ou Biodiversitocratie qui ne promettent que sacrifice et décroissance ». Pour sortir du catastrophisme ambiant, Jean-Paul Oury fait entre autres référence à Bertrand Alliot, ancien membre du Conseil d’administration de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) et auteur de l’ouvrage « Une histoire naturelle de l’Homme : l’écologie serait-elle une diversion », publié en 2020, qui récuse un parti pris idéologique dans l’examen qui est fait de la biodiversité. Concernant Bertrand Alliot, Jean-Paul Oury souligne que ce dernier, « converti à l’écologie scientifique, se bat contre l’écologisme et démasque l’hypocrisie des militants pastèques ».
Dans un article publié en février 2020, les économistes Nicolas Bouzou, Pierre Bentata et le philosophe Pierre-Henri Tavoillot, déplorent que ceux qui se sont saisis de la question du réchauffement climatique « ne se soucient pas d’écologie, mais poursuivent un agenda politique qui s’en éloigne au point de rendre inopérante toute mesure réellement utile : il faut le dire et l’écrire encore : l’écologie est aujourd’hui prise en otage par des idéologues, véritables climatosceptiques déguisés, qui trouvent en elle un terreau idéal pour prolonger leurs vieilles batailles. La principale préoccupation d’un grand nombre de ces soi-disant défenseurs de la nature n’est pas la protection de la vie sur la planète mais la lutte contre le capitalisme et la démocratie libérale ». […] Ils poursuivent : « L’écologie est un sujet trop sérieux pour être abandonné à l’idéologie ». De son côté, l’économiste Jean-Marc Daniel, dans son ouvrage « Redécouvrir les physiocrates – Plaidoyer pour économie intégrant l’impératif écologique », dénonce l’utilisation de l’écologie par les « pagano-gauchistes », c’est-à-dire par « ceux qui ont tourné le dos à toute forme de réflexion scientifique pour rétablir l’approche de la nature et de la vie quotidienne qui était celle des païens ». Il leur reproche « d’utiliser l’écologie pour détruire le capitalisme et notre liberté économique et politique ».
4. Écologisme et décroissance
« L’écologie, c’est la nouvelle lutte des classes »
Bruno Latour
Sociologue et anthropologue des sciences et des techniques
L’économiste Jean-Charles Simon, dans un article intitulé « L’Europe au péril de l’écologisme », dénonce la diffusion « en Europe, et singulièrement en France d’un écologisme radical et catastrophiste, alimenté par des politiques, des intellectuels et des entreprises dont c’est le fonds de commerce ». Pour cet économiste, l’Europe commettrait une erreur suicidaire en cédant à la « folie de la décroissance ». Il écrit : « Cette stratégie de l’anxiété cherche à imposer un calendrier de ruptures économiques et sociétales à marche forcée, motivé d’ailleurs davantage par l’anticapitalisme plutôt que par l’environnement, sous peine de fin de l’humanité. A tous égards, l’Europe commettrait une erreur suicidaire en cédant à cette pression ». De son côté, Luc Ferry explique pourquoi la « décroissance serait catastrophique » dans un article publié en décembre 2021.
Mais qu’est-ce que la décroissance ?
Le concept « décroissance » est né dans les années 1970 avec le rapport Meadows publié par le Club de Rome. Intitulé « The Limits to Growth », ce rapport prédit l’effondrement inévitable d’une civilisation dont la population, l’activité économique et les impacts sur l’environnement connaîtraient une croissance permanente.
Il s’agit d’une notion politique, économique et sociale qui remet en cause l’idée selon laquelle l’augmentation des richesses conduit à l’amélioration du bien-être social. La théorie économique de la décroissance préconise de réduire la production de biens et de services afin de préserver entre autres l’environnement. On trouve les militants de la décroissance dans certains mouvements anti-productivistes, anticonsuméristes et écologistes. Thimotée Parrique, docteur en économie et spécialiste de la décroissance, définit cette dernière comme « la réduction planifiée et démocratique de la production et de la consommation dans les pays riches, pour réduire les pressions environnementales et les inégalités, tout en améliorant la qualité de vie ». Pour cet économiste, auteur de l’ouvrage « Ralentir ou périr – L’économie de la décroissance », la sobriété est la décroissance.
Au nom de la sobriété si chère à certains, nous avons été victimes entre autres d’un désintérêt pour le nucléaire et d’un manque d’anticipation. Comme le souligne un rapport de la commission des affaires économiques du Sénat en France, « le Gouvernement a trop longtemps délaissé la filière nucléaire ». Sous la pression des Allemands et de l’inconscience des écologistes extrémistes, nous avons laissé s’effondrer notre parc nucléaire au bénéfice notamment du développement des éoliennes. Ces choix ont été dénoncés notamment par Jean-Marc Jancovici (ingénieur, consultant en énergie) qui a démontré combien ces résolutions étaient absurdes d’un point de vue scientifique pour l’écologie.
Dans l’ouvrage intitulé « Le pouvoir de la destruction créatrice, publié en octobre 2020, les économistes Philippe Aghion, Céline Antonin et Simon Bunel, écrivent : « Selon les partisans de la décroissance, la croissance du PIB par habitant et les politiques qui la favorisent sont source de malheur : elles détériorent notre environnement, augmentent les inégalités et créent du stress et de la précarité dans le quotidien de la plupart de nos concitoyens ».
Si à un bout du spectre se trouvent les partisans de la décroissance, à l’autre bout se situent ceux qui considèrent que « la croissance du PIB par habitant est l’objectif à poursuivre car elle est une source de prospérité et d’emploi pour tous » (Philippe Aghion, Céline Antonin et Simon Bunel, « Le pouvoir de la destruction créatrice »).
Lors des rencontres économiques d’Aix-en-Provence de juillet 2022, le Gouverneur de la Banque de France, M. Villery de Galhau déclarait que « la décroissance n’est ni désirable, ni suffisante ». Enfin, pour le journaliste économique Pierre-Antoine Delhommais « la décroissance n’est rien d’autre qu’une masturbation intellectuelle de gosses de riches qui croient sauver la planète en allant cultiver trois malheureux poireaux dans un potager urbain participatif. Des tartuffes de l’écologie qui envoient de leur IPhone dernier modèle des tweets rageurs condamnant le capitalisme mondialisé et la dictature des technosciences, ou encore qui dénoncent avec des larmes dans la voix « la tragédie climatique », mais n’hésitent pas à prendre l’avion pour aller en Patagonie faire un trek dans une nature préservée du poison de la civilisation industrielle » (« La décroissance, ennemie des pauvres », février 2023).
5. Glossaire
Chaîne de blocs (« Blockchain ») : « Technologie de stockage et de transmission d’informations, permettant la constitution de registres répliqués et distribués, sans organe central de contrôle, sécurisées grâce à la cryptographie et structurées par des blocs liés les uns aux autres, à intervalles de temps réguliers » (source : Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST).
Crypto-actif : « Représentation numérique d'une valeur qui n'est pas émise ou garantie par une banque centrale ou par une autorité publique, qui n'est pas nécessairement attachée à une monnaie ayant cours légal et qui ne possède pas le statut juridique d'une monnaie, mais qui est acceptée par des personnes physiques ou morales comme un moyen d'échange et qui peut être transférée, stockée ou échangée électroniquement » (Source : Article L54-10-1 du Code monétaire et financier).
Écologie : « Science qui étudie les interactions entre les organismes, et entre les organismes et leur environnement physico-chimique, ainsi que les conséquences de ces interactions à toutes les échelles temporelles et spatiales possibles » (Sébastien Barot).
Loi Agec (loi anti-gaspillage pour une économie circulaire) : Loi qui a pour objectif de lutter contre le gaspillage et de mettre en place une économie circulaire.
Minage : Procédé consistant à créer et à assurer la circulation d'une monnaie virtuelle à l'aide d'algorithmes de chiffrement.
Nomophobie : Peur de se retrouver sans son téléphone mobile.
Ticket de caisse numérique ou électronique : Ticket qui sera envoyé au client par voie électronique.
Verdissement d’image (« greenwashing ») : Attribution abusive de qualités écologiques à un produit, à un service ou à une organisation (Source : FranceTerme).
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